« Comment vous expliquer d'un mot, vous qui ne l'avez pas connue ? Comment la saluer au plus juste maintenant qu'elle n'est plus ? Quel portrait d'elle puis-je toujours garder sur moi, que personne ne me vole, et pas même la vie qui passe ? »
Avec la chanson de Charles Quint, c’est un roman « autobiographique » que nous livre là Erik Orsonna . Le roman de deux frères, l’un le cadet qui n’a aimé qu’une femme « l’amour unique », l’autre, Erik, séducteur en aura beaucoup aimé, amours passagères, amours lapidaires jusqu’au jour ou il rencontrera son « soleil » .A peine nous laisse t’il le temps de la découvrir que la maladie l’emporte. Quatre ans, quatre ans et son astre, son « soleil » s’éteint et repose dans un petit cimetière breton. « Comment vous expliquer d'un mot, vous qui ne l'avez pas connue ? » il nous emmène avec lui à la recherche de son « soleil » dont il n’arrive pas à faire le deuil, à travers le monde, les religions et la science .Il nous raconte la « persistance rétinienne» . Il la voit partout, jour et nuit .
Petit à petit entouré de ses amis il reprendra goût à la vie.
Ce roman hommage, est passé presque inaperçu, plein de tendresse et d’émotion il est écrit magnifiquement, certaines phrases peuvent se lire à l’infini. C’est sans doute son livre le plus attachant. Il laisse même le sentiment de n’être adressé qu’à celui qui a le livre entre les mains.
Petit à petit entouré de ses amis il reprendra goût à la vie.
Ce roman hommage, est passé presque inaperçu, plein de tendresse et d’émotion il est écrit magnifiquement, certaines phrases peuvent se lire à l’infini. C’est sans doute son livre le plus attachant. Il laisse même le sentiment de n’être adressé qu’à celui qui a le livre entre les mains.
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