Juin 1941. Le ciel appartient à Hitler. La plupart des bombardiers anglais tombent sous le feu ennemi. Comme si la Luftwaffe parvenait à détecter les avions... Les Allemands auraient-ils doublé les Anglais dans la mise au point de ce nouvel outil stratégique : le radar ? Winston Churchill, très préoccupé par la situation, demande à ses meilleurs agents d'éclaircir la situation, et de diriger leur enquête vers le Danemark, lieu probable du positionnement de l'engin.
Ken follet devenu maître du roman d'espionnage, nous emmène cette fois-ci au nord de l'Europe. C'est au Danemark, que ce déroule l'intrigue, où les nazis poursuivent leur avance, quant à la chasse britannique, elle subit de plus en plus de perte, comment les Allemands peuvent -ils être au courant des raids aériens ?
Sur son île le jeune haralt fait une importante découverte, avec son amie il fera tout pour transmettre aux anglais son récit, c'est aux commandes d'un vieux biplan qu'il partira peut-être informer la patrie de Winston Churchill.
Toujours bien documenté Ken follet réussi dans chacun de ces romans à nous faire partager les peurs, les dangers et les angoisses de ces personnages et son style fait que très rapidement on s'identifie aux personnages. Et une nouvelle fois avec le vol du frelon, il nous démontre combien il était difficile de faire le choix de rentrer en résistance. Certain pourront toutefois y voir plus une romance qu'un roman d'espionnage.
Peut être Ken follet y voyait là, un moyen de se renouveler.Alors, si je peux me permettre, je conseillerai plutôt « La nuit de tous les danger » ou « L'arme à l'œil » qui sont ses romans d'espionnages les mieux aboutis et dans un tout autre ordre bien sûr « les piller de la terre ».
Sur son île le jeune haralt fait une importante découverte, avec son amie il fera tout pour transmettre aux anglais son récit, c'est aux commandes d'un vieux biplan qu'il partira peut-être informer la patrie de Winston Churchill.
Toujours bien documenté Ken follet réussi dans chacun de ces romans à nous faire partager les peurs, les dangers et les angoisses de ces personnages et son style fait que très rapidement on s'identifie aux personnages. Et une nouvelle fois avec le vol du frelon, il nous démontre combien il était difficile de faire le choix de rentrer en résistance. Certain pourront toutefois y voir plus une romance qu'un roman d'espionnage.
Peut être Ken follet y voyait là, un moyen de se renouveler.Alors, si je peux me permettre, je conseillerai plutôt « La nuit de tous les danger » ou « L'arme à l'œil » qui sont ses romans d'espionnages les mieux aboutis et dans un tout autre ordre bien sûr « les piller de la terre ».
Je ne me rappelle pas l'avoir lu, celui-là ! Mais je suis sûre que je suis loin d'avoir tout lu de lui ;)
RépondreSupprimerHum ! Je dois toujours lire "les piliers de la terre". Je n'ai encore rien lu en matière de roman d'espionnage. Je note "la nuit de tous les danger" pour découvrir le genre et puis parceque le titre m'intrigue.
RépondreSupprimerJe pose mon pinceau deux minutes :
RépondreSupprimer@Joëlle : Moi aussi, je n'ai pas tout lu de lui, c'est un auteur très prolifique.
@La liseuse : Il faut tout de même aimer prendre l'avion, toute l'intrigue se passe abord d'un Clipper." j'aurai aimé voyager dans cet avion !!