lundi 11 mai 2009

Les Gogols de Xavier Tresvaux

Le narrateur, Stanislas Berthier, a la conviction que ses gènes sont programmés pour lui faire rater sa vie. Voici la trame de ce roman. Stanislas se rebelle, contre ses parents, contre la société. Au premier abord, j'ai pensé que j'allais passer un bon moment, petit à petit j’ai un sentiment étrange, l’écriture semble décousue, manque de fluidité. On s’y perd ! J’ai attendu, pourtant la fin du premier chapitre qui n’arrivait pas et pour cause ! Le livre est écrit d’une traite un prologue et deux chapitres. Moi, qui n’aime pas m’avouer vaincu, qui coûte que coûte aime aller au bout de mes lectures, j’ai commencé à feuilleter le livre de la page 30 à la page 300, à la recherche du bon mot, de la bonne phrase, « la guerre sarko-villepin », « le séjour en prison », «la haine pour ses gènes » rien n’y a fait, pas même l’éditeur de renom ! Gallimard.
Les gogols, premier roman de Xavier Tresvaux, ne m’a pas enthousiasmé. Voilà que je me cherche plein d’excuses. Non ! Je ne l’ai pas terminé.

Éditions Gallimard. 320 pages
ISBN : 9782070122561- 21€
A voir ! les avis de :
Hathaway ;

8 commentaires:

  1. Rien à voir avec ce billet, mais compte tenu de l'intitulé de ton blog, "Lire et Courir", je me dis que le dernier livre de Haruki Murakami, "Autoportrait de l'auteur en coureur de fond" (que j'ai feuilleté assez longuement) pourrait te plaire.

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  2. Exactement pareil en ce qui concerne ma propre lecture de ces "gogols" : rien trouvé d'intéressant et abandonné (avec soulagement) bien avant la fin...

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  3. @ Brize : Merci, je vais voir ça immédiatement !
    @ Cuné : oui, vraiment bof ! Bof !

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  4. Je rejoins ton avis, je n'ai pas aimé non plus !

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  5. Hathaway : Ce livre fait l’unanimité….. Contre lui !

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  6. Pas du tout ok avec ces commentaires, j'aime ce style plusieurs histoires croisées c'est novateur plutôt et la trame est bien présente, je ne me suis pas perdue, j'ai beaucoup ri même chirac-renard argenté-putois à se rouler par terre, fait passer le reste, beaucoup d'émotion à l'hôtel de france, personnages bien campés, et j'ai dû passser les mêmes vacances sur le bassin d'arcachon, entendu les mêmes voix parentales. Tout est très juste et la fin inévitable, donc vive tresvaux, l'ai déjà conseillé

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  7. Excuses moi je ne me rappellais plus avoir lu ton avis ! Mais merci de t'être donnée la peine de venir me faire un c/c de ton lien!
    Bien à toi.

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