Voici le premier roman du fils du célèbre Robert Merle.
Olivier Merle, a ressuscité les personnages de la saga fortune de France et il nous emmène en plein cœur du 14ème siècle, en plein coeur des guerres de religions. Après que Jean De Siorac ait conté ses mémoires, son fidèle serviteur décide de présenter sa vision de l’histoire, « Le même chemin, certes, mais un autre paysage ». Nous avons donc entre les mains les mémoires de Miroul. Miroul, fils de paysans de la religion réformée au service de Jean De Siorac.
Olivier Merle a pris le parti d’écrire ce livre avec les termes moyenâgeux qui conviennent (si je puis dire). Et, c’est là tout le problème, certains mots anciens incompréhensibles sont dans le glossaire. Sans renvoi ! "Vertugadin, membratures et autre rebelute…" et d’autres n’y sont pas ! " je m’apense,
boutisse… ". Ou encore , certaines phrases venu de notre histoire ancienne " j’étais d’une grande doutance… ", côtoies des phrases aux tournures plus contemporaine - avec l’autorité du spécialiste, c’est beaucoup plus qu’un mur….c’est notre muraille de Chine - .Ce qui malheureusement, déconcerte le lecteur et pire, ralenti la lecture. Il m’a fait souvent perdre le fil de l’histoire ! Ce livre devient presque une lecture pour les initiés.
Miroul, porte parole des petites gens, personnage ô combien attachant, a écrit sous la plume d’Olivier Merle un récit qui ne m’a pas convaincu.
Olivier Merle, a ressuscité les personnages de la saga fortune de France et il nous emmène en plein cœur du 14ème siècle, en plein coeur des guerres de religions. Après que Jean De Siorac ait conté ses mémoires, son fidèle serviteur décide de présenter sa vision de l’histoire, « Le même chemin, certes, mais un autre paysage ». Nous avons donc entre les mains les mémoires de Miroul. Miroul, fils de paysans de la religion réformée au service de Jean De Siorac.
Olivier Merle a pris le parti d’écrire ce livre avec les termes moyenâgeux qui conviennent (si je puis dire). Et, c’est là tout le problème, certains mots anciens incompréhensibles sont dans le glossaire. Sans renvoi ! "Vertugadin, membratures et autre rebelute…" et d’autres n’y sont pas ! " je m’apense,
boutisse… ". Ou encore , certaines phrases venu de notre histoire ancienne " j’étais d’une grande doutance… ", côtoies des phrases aux tournures plus contemporaine - avec l’autorité du spécialiste, c’est beaucoup plus qu’un mur….c’est notre muraille de Chine - .Ce qui malheureusement, déconcerte le lecteur et pire, ralenti la lecture. Il m’a fait souvent perdre le fil de l’histoire ! Ce livre devient presque une lecture pour les initiés.Miroul, porte parole des petites gens, personnage ô combien attachant, a écrit sous la plume d’Olivier Merle un récit qui ne m’a pas convaincu.
Biographie de l'auteur : Olivier Merle est volcanologue, et professeur à l'université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand. Fils de l'écrivain Robert Merle, l'écriture depuis toujours fait partie de son univers. Le plaisir d'écrire et la fidélité à son père pour seul guide, c'est un affectueux hommage qu'il rend à celui-ci dans cet attachant et surprenant roman.
Editions de Fallois , 360 pages
isbn 978-2877066808 - 19.50€
---------------------------------------------------------------------------------
A voir ! les avis de :
J'ai lu la série des Fortune de France avec plaisir au début (quel beau moyen de rafraichir ses connaissances de l'histoire de France!)puis lassitude vers la fin.
RépondreSupprimerAs tu lu d'autres romans de Robert Merle? Malevil par exemple?
@keisha: je n'ai pas lu Malevil , mais je le note dans mes tablettes " cette histoire mitrigue !"
RépondreSupprimerUne histoire géniale, post bombe atomique, très très bien, qui devrait te plaire.
RépondreSupprimerL'ile est aussi un bon roman
Bon j'arrête.^_^
@ Keisha : C'est noté pour ma prochaine commande Price ;-)
RépondreSupprimerUn ami m’a passé le livre d’Olivier Merle et je me suis régalé, ayant adoré la série Fortune de France. Je ne partage pas la critique ci-dessus, en particulier sur la langue (savoureuse) d’autant plus que l’auteur lui-même dans l’avant propos s’explique sur son aspect composite (moderne et ancienne à la fois). Je suis convaincu que tous ceux qui ont aimé Fortune de France ne peuvent qu’aimer ce livre (un bel hommage dans la même veine), et pour ceux qui ne connaissent pas la série, c’est une bonne manière de la découvrir. Sur le site Amazon.com, pour ceux que ça intéresse, on peut lire d’autres critiques beaucoup plus favorables que celle-ci.
RépondreSupprimerJe ne partage pas non plus la critique ci-dessus. Olivier Merle a su reprendre la fresque de son père, dans un tableau parallèle, en nous plongeant dans le même univers qui nous a tant passionné, sans le copier, sans le plagier et en lui rendant hommage. On retrouve ainsi un jeune Miroul, absoluement admiratif de Pierre de Siorac, infiniment respectueux, tel l'auteur envers son père.
RépondreSupprimerC'est avec une grande émotion que j'ai repris leurs aventures, émotion que je n'ai jamais retrouvé à travers d'autres ouvrages. Les tomes suivants sont attendus avec une grande impatience.
J'ai dévoré les 13 volumes de la série Fortune de France et c'est avec tristesse que j'ai fermé le dernier volume. Mes 2 enfants ont aussi acheté la série et ils sont aussi captivés que je l'étais à la lecture des aventures des Siorac. Je viens de découvrir avec bonheur le livre d'Olivier Merle 'L'avers et le revers' qui est excellent. Quelle brillante idée de reprendre l'histoire avec Miroul! C'est comme si je me retrouvais en famille. J'espère que M. Merle écrira autant de volumes que son père. Je les attends avec impatience.
RépondreSupprimer