L’Ancolie est une fleur aussi belle que toxique. Belle, à l’image de certains souvenirs. Toxique, à l’image de certains regrets. L’Ancolie, c’est aussi le nom d’un chalet perdu en pleine montagne.
Vincent, guide de haute montagne même une drôle de vie depuis que Laure l’a quitté voilà cinq. Il traîne derrière lui une sale réputation et pour cause ! Pour exorciser sa douleur, séducteur, il se « débarrasse de ses conquêtes dès le petit matin et sans ménagement ».
Tout basculera le jour ou Myriam une maîtresse éconduite ce suicidera et que son meilleur ami Pierre, est retrouvé, mort, au pied de la montagne suite à une chute.
Persuadé qu’il ne peut s’agir d’un accident, Vincent épaulé par Servane, la nouvelle recrue de la gendarmerie - avec laquelle il noue une relation pour le moins étrange, entre sentiments cachés et conflits cinglants – vont mener l’enquête et très vite ils ne seront pas au bout de leurs surprises .
Cette fois encore avec une idée originale, Karine Giebel, entraîne le lecteur dans une course folle. Même si le rythme de départ est un peu lent. Nous sommes très vite happés par les belles images que nous laissent les randos dans le Mercantour, par l’ambiguïté de la relation entre Servane et Vincent deux personnages vraiment attachant au point presque, de vouloir les aider tant l’un et l’autre sont si fragile. Au point d’espérer les retrouvés dans une autre aventure tant cette relation est bien décrite. Mais il en sera autrement…
Tout basculera le jour ou Myriam une maîtresse éconduite ce suicidera et que son meilleur ami Pierre, est retrouvé, mort, au pied de la montagne suite à une chute.
Persuadé qu’il ne peut s’agir d’un accident, Vincent épaulé par Servane, la nouvelle recrue de la gendarmerie - avec laquelle il noue une relation pour le moins étrange, entre sentiments cachés et conflits cinglants – vont mener l’enquête et très vite ils ne seront pas au bout de leurs surprises .
Cette fois encore avec une idée originale, Karine Giebel, entraîne le lecteur dans une course folle. Même si le rythme de départ est un peu lent. Nous sommes très vite happés par les belles images que nous laissent les randos dans le Mercantour, par l’ambiguïté de la relation entre Servane et Vincent deux personnages vraiment attachant au point presque, de vouloir les aider tant l’un et l’autre sont si fragile. Au point d’espérer les retrouvés dans une autre aventure tant cette relation est bien décrite. Mais il en sera autrement…
Cette recherche de la vérité avec la montagne en arrière plan, qui les pousse au-delà de leurs limites, porte aussi un regard sur la Différence et le jugement de cette Différence, sur la détresse et force des sentiments, sur la recherche non assumé d’identité.
Cette quête qui les pousse à déterrer de lourds secrets, Karine Giebel en a fait bon polar assurément, pas aussi noir que les précédents, mais tout aussi prenant ….
Cette quête qui les pousse à déterrer de lourds secrets, Karine Giebel en a fait bon polar assurément, pas aussi noir que les précédents, mais tout aussi prenant ….
Fleuve Noir -19.00€
ISBN : 9782265085954
A voir ! les avis de : Sofy ;
J'ai beaucoup entendu parler de cette auteure mais je n'ai encore rien lu d'elle (certains titres sont déjà notés). Je pense plutôt commencer par un de ses premiers ;) Et comme je suis là, je te souhaite une excellente année 2010 :)
RépondreSupprimercette année, il faut que je découvre cet auteur
RépondreSupprimerAh ah, mon billet est fait depuis 15 jours, il me reste à le faire paraître cette semaine. J'ai beaucoup aimé cette lecture. Le cadre m'a beaucoup plu, et puis l'histoire aussi. Et j'ai donc découvert l'auteure que je ne connaissais pas et j'ai envie de découvrir ses autres livres.
RépondreSupprimer@Joëlle : hum ! Pas obligé de commencer par le premier !
RépondreSupprimer@Pom’ : N’hésite pas !
@Lilibook : Je vais te lire de ce pas !
Pas encore lu cette auteure, mais je crois qu'elle va me plaire. Je note ce titre.
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