Présentation de l'éditeur
Ainsi débute cette surprenante odyssée new-yorkaise. A peine arrivé à New York, Luc se fait voler tout ce qu'il possède, son argent, ses papiers, son unique manuscrit. Au terme d'une singulière nuit d'errance, il trouve refuge auprès d'Alejandro Asturias, poète aveugle au génie méconnu, à qui il confie son rêve américain : rencontrer Paul Auster. Le vieil Andalou accepte d'aider Luc, à la condition qu'il devienne ses yeux et transcrive sa poésie titanesque. L'histoire de trois écrivains, Alejandro Asturias, Paul Auster, Luc Kervalec, trois parcours étroitement liés dans lesquels réalité et illusion sont savamment entremêlées, transportant le héros à travers une quête intérieure et initiatique où la littérature reste le personnage majeur. Insolites, drôles et émouvantes, Les Constellations du hasard offrent un roman dont on sort étrangement revigoré, comme sous l'effet d'un bienheureux sortilège.
Belfond - 184 pages - 17 €
Au début, je me suis dis, mais quelle idée ! Pourquoi partir à la recherche de Paul austers ? Pourquoi vouloir lui remettre ce manuscrit ? Moi, qui n’ai même pas lu un ces livres. Très vite j’ai été happé par ce roman.
Le hasard fil conducteur de toutes ces rencontres aussi surprenantes que belles, ce hasard n’est–il pas finalement que le fruit du destin ?
Des personnages attachants (Alejandro poète aveugle et Miranda la belle petite fille du poète), une écriture simple, drôle, on oublierai même que Valérie Boronad a écrit ce livre, elle ne fait qu’un avec le narrateur.
« Il disait ferme les yeux, petit, ……laisse les mots entrer en toi, laisse simplement les mots couler et je fermais les yeux et je sentais la fraîcheur du soir, les odeurs de jasmin et de magnolia, j’entendais le son de l’orage et le bruits des vagues…il disait vole, petit vole, les mots sont des semences à voler, alors je fermais les yeux et doucement, doucement je m’en allais ».
Le hasard fil conducteur de toutes ces rencontres aussi surprenantes que belles, ce hasard n’est–il pas finalement que le fruit du destin ?
Des personnages attachants (Alejandro poète aveugle et Miranda la belle petite fille du poète), une écriture simple, drôle, on oublierai même que Valérie Boronad a écrit ce livre, elle ne fait qu’un avec le narrateur.
« Il disait ferme les yeux, petit, ……laisse les mots entrer en toi, laisse simplement les mots couler et je fermais les yeux et je sentais la fraîcheur du soir, les odeurs de jasmin et de magnolia, j’entendais le son de l’orage et le bruits des vagues…il disait vole, petit vole, les mots sont des semences à voler, alors je fermais les yeux et doucement, doucement je m’en allais ».
Un roman envoûtant - une grande bouffée d'air frais –
Livre lu dans le cadre du prix carrefour du premier roman 2008.
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